Avant de commencer votre lecture, sachez que cet article appartient à une série de billets sur mes vacances à Madère, qui se sont déroulées à cheval entre septembre et octobre 2015. Continuons donc cette série d’articles sur notre voyage à Madère…
Dans cet article, je vais vous parler de la fameuse plage de l’île de Porto Santo, longue de plusieurs kilomètres : sable fin et doré, vagues, surf, et oiseaux… suivez-moi !
Porto Santo est une île portugaise appartenant à l’archipel de Madère. Cette île volcanique d’une superficie de 42 km² se trouve dans l’Océan Atlantique. En raison de sa longue plage (9 km) de sable fin et blond, Porto Santo est souvent surnommée « l’Île Dorée ».
Ci-dessous, nous pouvons apercevoir la longue plage de sable blanc…
Alors que l’île de Madère est luxuriante, l’île de Porto Santo est désertique. Sa plage en est l’attraction-phare : l’île principale de l’archipel de Madère ayant peu de plages, c’est ici que se rendent les touristes et les habitants de l’île de Madère en quête de baignade et de sable fin, chaud, doux, et blond. Nombreux sont ceux qui prennent le bateau pour se rendre sur l’île et y passer la journée afin de profiter de la plage !
D’ailleurs, lorsque nous avons dit à certains exposants du Marché des Laboureurs que nous passerions une semaine entière sur l’île de Porto Santo, ils nous ont regardé avec des yeux ronds : « Comment, une semaine entière ? Mais à part la plage il n’y a rien à faire » ! C’était bien mal nous connaître ! Comme vous le savez, nous n’avons pas eu le temps de nous ennuyer sur cette petite île, et pourtant, nous avons passé très peu de temps à la plage : orgues basaltiques, dunes… Nous n’avons pas chômé !
Le sable de cette plage a des propriétés thérapeutiques, étant chargé en minéraux. Il est par exemple réputé être excellent pour traiter les rhumatismes. D’ailleurs, on trouve sur l’île un centre de thalassothérapie.
La plage était déserte… enfin, presque ! Nous y étions bien sûr, mais il y avait aussi ces charmants oiseaux qui se baladaient tranquillement au bord de l’eau… Quelqu’un peut-il m’aider à en identifier l’espèce ? Anne-Marie, je sais que la dernière fois tu m’avais aidée pour les plantes, es-tu aussi talentueuse en ornithologie ?
Après quelques recherches, je dirais que ces oiseaux sont des bécasseaux.
Qui dit « Océan Atlantique » dit « vagues « ! Dans notre logement, nous avions déniché une vieille planche de surf. C’était l’occasion de l’essayer ! Elle nous a permis de bien profiter de notre baignade ! Sans planche, nous serions restés nettement moins de temps dans l’eau !
Lorsque l’on est une grande surfeuse, forcément, on prend des risques. D’où ma jambe ensanglantée… En réalité, c’est surtout qu’il y avait du fond, sauf à un endroit où se trouvait un énorme rocher enfoui sous l’eau, et qui rasait de près la surface, le fourbe ! Heureusement, seule ma jambe a été touchée.
Quelle agréable sortie à la plage ! J’ai adoré faire de la planche. Si je n’étais pas née dans une région de montagnes, je n’aurais pas été skieuse… mais surfeuse !
©Audrey-Laure 2024